Nostalgie Anticipée.

Lundi 15 mars 2010 à 17:54



JE M'ENNUIE.

Dimanche 14 mars 2010 à 16:43

Qu'est ce qu'il me reste ?
Ah, comme j'aimerais etre comme ailes. Je vous adule, vous méprise à la fois.
Comme un goût d'amertume, vaguement écoeurée. J'ai chu dans les vagues du délire. Des espoirs qui se savent vains. Et des éternelles répetitions.
Heureusement que tu étais la, ce soir-la. L'Ami, au dela de tout ce que j'avais osé espérer, empreint de douceur, d'une infinie et tendre discrétion. Un calin silencieux, des formes dans les nuages et les heures qui coulent au ralenti. Merci, mille mercis...

Alors vivons, en attendant, puisqu'au fond c'est uniquement de ca dont il est question.

Je suis fatiguée et le peu de lecteurs qu'il me reste aussi.
Il est temps de changer de cycle.
Croître ou mourir.


Samedi 6 mars 2010 à 20:25

Caramba, encore raté.
Quelques heures pour une frustration de plus.
Je deviendrai la copie de tes ailes. Je serai celle qui les réunira toutes, l'elle ultime, celle qui te projetera au sommet de toi meme dans un immense, éternel et grandiose éclat de rire. Tu pourrais etre ce conditionnel, bien plus qu'un espoir. L'échelle d'mon âme. Mon authentique Paradis.
Mais en attendant, je m'en fous.

Nos promesses vides... Et maintenant ?

J'en ai assez de moi-meme. Ces fluctuations, toujours semblables à elles memes.
Du Nouveau, par pitié. N'importe quoi, je veux naitre.
"Y a des jours comme ca, ou l'on déteste tout le monde à commencer par soi."
 

Jeudi 4 mars 2010 à 13:30

http://bidula.cowblog.fr/images/CalvinandHobbesDancingcalvinandhobbes139552116231200.jpg


Militons pour le retour des tickets de métro verts. Y a une miette coincée sous le f de mon clavier. Je veux savoir dessiner et faire de la BD, bordel de soupe. Dipôle RL a la con. Je passerais bien mon apres midi devant Barry Lyndon. Sur ma couette y a une paire de grosse lunettes pleine de poussiere, une tasse de thé vide, une tasse de café vide, et voir ca ca m'a fait rire. Il en faut peu. Pourquoi j'ai comme un noeud dans le ventre ? Y a une expo Turner au Grand Palais. Quand le vin est mauvais, on ne le bois pas (lecon de vie n°12 678 749). Faut que j'm'occupe de ma lettre de motivation et d"'un job pour cet été. Je n'ai pas vu Avatar, mouhahaha. Et si je supprimais mon compte Facebook ? Apres ma premiere année de médecine, je me mettrai à l'espagnol et j'irai vivre à Séville. J'apprendrai le violon aussi. Et puis je partirai en vacances aux Etats Unis avec trois amis, on louera une voiture et on the road. Je hais les maths. Je suis égocentrique. Le café c'est bon. Y a comme un petit quelque chose dans l'air, tous ces nouveaux couples. Je suis heureuse pour vous (pas encore assez, peut etre). Depuis toi, je plie le coin des pages quand j'arrete mes lectures. J'ai voulu chercher sur internet une interprétation du proces de Kafka alors qu'il me reste que dix pages à lire, résultat j'ai appris que le héros mourait à la fin, non mais merde quoi. Et puis il faut que je fasse des maths... Et puis il faut que la vie continue mais en attendant, il me reste quelques jours a me lever a 11h le matin. J'ai envie d'aller à Paris. J'esperais t'y voir. C'est drôle comme tout s'effiloche. Je suis heureuse pour vous ... Mais pas encore assez, non. C'est drôle.
Stagnation *

J'suis l'poinconneur des Lilas ...

Mercredi 3 mars 2010 à 19:56

Pas d'image.

Et meme qu'on aurait des vies trépidantes, a danser jusqu'au bout de nos nuits, à nous inventer nous meme jusqu'a la démence, à fumer nos existences sans filtre. Et meme qu'on ne saurait plus ou donner de l'âme, tant elle s'épanouirait dans ces sentiers ou je n'arrive plus à la suivre. Et meme qu'on serait libres, qu'on pourrait aller ou l'on voudrait, qu'on louerait une voiture et qu'on écouterait Canned Heat sur la route 66, jusqu'au bout de notre monde. Et meme qu'on irait jouer à cacher-cache dans les bois, et faire comme si on se perdait pour de vrai, pour encore mieux se retrouver apres. Et meme qu'on sillonnerait Paris dans l'infini de ses rues glauques et de ses boulevards bruyants, fumants et puants, pour rentrer exténuer continuer à vivre à l'abri de nos murs. Et meme qu'on existerait, ouais, qu'on mangerait les jours et qu'on rirait à en pleurer, qu'on se ferait haïr par les voisins du dessous et qu'on figerait le temps dans une myriade de rencontres. Peut etre meme qu'on s'envolerait alors, en douces volutes de fumée au dessus des toits. On se prendrait en photo, on porterait des chapeaux, on chanterait dans la rue. Meme qu'on se sentirait bien, heureux et accomplis.

On pourrait peut etre meme s'aimer. Peut etre meme pendant des années.

Ou alors on serait des guitaristes légendaires. Ou bien peut etre des écrivains extraordinaires, ou des comédiens révolutionnaires.
Ou bien juste des gens ordinaires.
Mais meme comme ca...


Et si j'allais dormir ?

[La douceur t'allait mieux. Quand tu avais ce sourire. Quelque chose d'un peu niais, un bonheur exubérant et ébahi qui s'étalait sur ton visage. Cette expression que tu as quand tu es amoureux. Il y avait longtemps que je n'avais pas attendu ce train. La douceur t'allait mieux.]

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