Moi j'dis rien ne vaut une p'tite version de latin pour retrouver le sourire. Le latin est une langue fantastique, tout devient possible, meme (je cite) "il ne lésina pas sur l'exclusion des pois chiches". Vive Horace, Plaute et Cicéron, quessqu'on ferait sans eux (bande de connards qui n'étaient meme pas foutus de construire une phrase normale sujet-verbe-complément). Pour continuer sur le métabolisme lycéen, demain j'ai commentaire de texte. Bouhouhou.

(Vie sociale en jachere.) "Tu es triste ?" Je ne sais pas.

Coup de blouse. Depuis lundi. Une semaine déja, merde.

Je veux croire que le bonheur ne tient pas a grand chose, je veux croire que la vie est belle.