bidula - Nostalgie Anticipée.http://bidula.cowblog.frOne, Two, One Two Three Four. Ambitions. Rêves. Avenir. Désirs. Errances. NostalgieAnticipée. UnDouxBordelEmotionnel. BrouillonDeMoiMeme.CowblogfrSat, 02 Jul 2011 19:31:17 +0200180http://bidula.cowblog.fr/au-soleil-de-juillet-3119962.htmlAu soleil de juillet.Moi j'aime les choses bien propres, bien claires, les choses que ma tete peut ranger dans des jolies petites cases. J'aime les choses fixées qui ne bougent pas, j'aime pouvoir me dire "demain soir, a telle heure, je vois machin et on va faire ca". J'aime prévoir, j'aime faire des planning dont je sais pertinnemment que ne les tiendrai pas mais que je fait quand meme.
Autant vous dire qu'avec un copain qui ne vit meme plus au jour le jour mais à l'heure de l'heure, je douille un peu.

Mais je reconnaitrai au moins un avantage à cette prodigieuse incapacité à prévoir, c'est que ca me fait sérieusement bosser mes capacités d'improvisation et d'adaptation. Plus particulierement en ce qui concerne la gestion de la déception de la contrariété. J'apprend progressivement à arreter de faire la gueule et de m'inventer des problemes, juste pour que l'on s'intéresse à moi et qu'on me donne ce que l'on m'a refusé. Oui, c'est puéril, n'empeche qu'a une période cette réaction était devenue tellement systématique que j'avais failli en faire une dépression. (A force de s'inventer des problemes, on fini par en avoir vraiment. Oui, on peut s'auto-refuser le bonheur, je suis tres forte pour ca, je vous expliquerai si vous voulez, c'est tres simple vous allez voir.) Ne rien attendre, se contenter de ce qu'on a dans l'instant, 1.ca permet de saisir la beauté du moment, ce qui commence pas mal à ressembler a du bonheur, enfin je pense et 2. Ca évite d'etre perpétuellement frustrée. Comme disait Patrice, "the future doesn't exist, the past doesn't exist, there's only the right now". Et c'est vrai. A force de vivre dans le futur, a force d'attendre un "mieux" qui n'arrive jamais tel qu'on l'attend, on passe à coté de l'existence. Laisser les choses venir comme elles sont, sans systématiquement chercher à rendre le présent meilleur, sans perpétuellement idéaliser l'avenir. Laisser la vie venir à soi.
C'est l'amour des petits riens que je retrouve lentement - manger des pates au parmesan en rentrant de soirée, les rayons d'un soleil que l'on a pas vu depuis longtemps, prendre une douche en sortant de la ligne 13, boire un verre avec des copains, manger des mangues, et (c'est niais mais c'est bon) poser ma tete sur son épaule dans le RER C.

Et j'aime bien l'odeur des pates qui cuisent, aussi.



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http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3119962.htmlSat, 02 Jul 2011 19:31:00 +0200http://bidula.cowblog.fr/au-soleil-de-juillet-3119962.html
http://bidula.cowblog.fr/all-in-all-3114248.htmlAll in all...Apres un an passé la tête sous l'eau, c'est finalement le blues qui me ramène ici. J'ai tourné entre ces quatre murs a en devenir folle, j'ai acculé ma mémoire à la connaissance, je l'ai forcée à absorber, comme une éponge, des montagnes d'informations déletères. J'ai écrit des lettres, des lettres d'amour, des lettres imbibées d'ennui, de dégout, de fatigue et d'espoir. J'ai attendu ces vacances, je les ai attendu comme jamais, avec ce qu'on appelle l'énergie du désespoir.
Je suis en vacances, et j'ai le blues.
Conclusion : quelque chose cloche la-haut.
Instabilité psychologique, aurait dit l'autre. Certains ont consulté pour moins que ca. J'ai tout pour etre heureuse, j'en ai conscience. Alors ce qui manque, au fond,c 'est peut etre tout simplement la volonté de l'être...
"Si vous voulez etre heureux, soyez-le", disait Tolstoï.
Car la plénitude est la, à deux doigts. N'ai-je meme plus assez d'énergie pour me hisser sur la pointe de mes pieds, pour m'élever de ces quelques centimetres qui me manquent pour la toucher ?
Je sais ce qui me manque, au fond. Et cela, je préfere le jeter dans la mer de la Toile plutot qu'écrire une lettre de plus qui ira se perdre au fond d'un tiroir. C'est quelque chose de tout bete, un peu comme Chimène à qui on ordonne de porter le deuil pendant un an pendant que son cher et tendre va bouter les Maures hors d'Andalousie. Je suis une môme, une môme amoureuse, une môme amoureuse qui fait les cent pas en attendant qu'Il finisse ses... concours. Décidément.
Alors voila, c'est une solution un peu facile sans doute, mais  c'est aussi cela qui m'empeche de dormir le soir et qui me retient au lit le matin, qui, en-dehors de toute niaiserie romantique et éperdue, rend les choses plus fade, mine de rien.
"Tout est mieux avec toi que sans."
L'absence, le vide.
(Je n'imaginais pas que du vide puisse peser aussi lourd.)

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http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3114248.htmlWed, 08 Jun 2011 19:32:00 +0200http://bidula.cowblog.fr/all-in-all-3114248.html
http://bidula.cowblog.fr/they-said-it-s-evil-when-you-re-livin-alone-3095953.htmlThey said it's evil when you're livin' alone.
Et puis on se retrouve soudain sans plus rien à dire.]]>
http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3095953.htmlThu, 24 Mar 2011 22:26:00 +0100http://bidula.cowblog.fr/they-said-it-s-evil-when-you-re-livin-alone-3095953.html
http://bidula.cowblog.fr/comin-back-to-life-3070187.htmlComin' back to life.Blanc.
Le vide indigeste. Et pourtant si vous pouviez voir tout ce qui tonne et résonne dans ma tete, si vous pouviez savoir tout ce qui tourbillonne sous mon crâne. Tout ce qu'il a fallu que j'oublie pour pouvoir apprendre, tout ce que qu'il a fallu que j'enterre dans les poussières du souvenir... Suffisamment pour rendre inconsciente la monotonie des jours, pour la noyer dans un millier de minuscules objectifs dérisoires, "finir la semaine", "avoir appris ce cours avant ce soir", "avoir ce putain de concours". Et se retrouver face a soi-meme a mi-course, avec ces mots perdus qui n'en finissent pas de s'effilocher, à tenter de mesurer l'ampleur de tout ce qui a changé, a distinguer le profitable du regrettable, et a tenter de retrouver ces mots noyés dans les automatismes inconscients, dans ces petits riens qui rendaient les jours presque heureux, de ce bonheur idiot de l'imbécile qui se force a ne pas trop réfléchir...
Et cet immense bonheur, conscient celui-la, ivre meme de sa propre conscience. Constater qu'on a eu raison de croire en l'amour, celui qui fait vivre plus fort, celui qui fait exister.

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http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3070187.htmlSat, 18 Dec 2010 00:11:00 +0100http://bidula.cowblog.fr/comin-back-to-life-3070187.html
http://bidula.cowblog.fr/la-metaphysique-des-pre-rentrees-3037768.htmlLa métaphysique des pré-rentrées.Médecine c'est la galère.
J'aime bien.

Je ne sais plus trop si ce sont les mots qui s'échappent ou si c'est moi qui ai cessé de leur courir apres. Sans doute les deux à la fois. Comme si j'avais enfin fini d'avoir quelque chose à prouver à moi même, comme si j'avais fini par mettre un point final à l'interminable liste des comptes que j'ai à me rendre. L'horizon, loin la-bas, se délite un peu, se mêle aux souvenirs, aux nostalgies poussiéreuses et aux projets mort-nés. C'est étrange de savoir ou on va et comment on y va. Comme si l'on perdait un petit quelque chose à toujours vivre pour, comme si l'on en oubliait de vivre avec. Vivre avec les choses, avec les sentiments, avec les autres; vivre gonflée d'amour et de poésie, gorgée de soif d'un avenir dont on ne sait pas grand chose - l'inconnu paraît toujours tellement, tellement plus beau. Le cocon se brise et l'on respire enfin, la premiere bouffée d'air du nouveau-né, à peine douloureuse tant elle est belle.
Les mots s'effilochent et Paris court toujours.
Et on court toujours, et on cherche tous ce petit rien, ce soupir qui nous rendra un peu plus vivants, cette seconde qui nous fera comprendre que l'on existe, nous fera prendre conscience de ce que cela signifie vraiment. Cet instant ou l'on comprendra la vraie valeur des choses, éclairées qu'elles seront à la lumière de notre finitude.
Vivre heureux, c'est rester perpétuellement dans la joie de se sentir mortel.


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http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3037768.htmlSun, 12 Sep 2010 17:46:00 +0200http://bidula.cowblog.fr/la-metaphysique-des-pre-rentrees-3037768.html
http://bidula.cowblog.fr/expecting-more-swingin-dreams-3034574.htmlExpecting more swingin' dreams.

La thermochimie c'est indigeste, surtout à 8h15 un jeudi matin. Alors en attendant de trouver le courage de m'y mettre, j'ai fait une playlist, puisque j'ai entendu c'matin à la radio que c'est la rentrée pour les collégiens et les lycéens. (Pauvres chous.)
Les studios Chouquettes sont heureux de vous présenter la playlist (incomplète) qui vous donnera, sinon un coup de pied au cul, au moins un peu d'entrain pour les matins difficiles, les apres-midi difficiles, les soirs difficiles, les nuits difficiles. Enjoy.

(Aller hop, on s'y met.)

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http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3034574.htmlThu, 02 Sep 2010 08:19:00 +0200http://bidula.cowblog.fr/expecting-more-swingin-dreams-3034574.html
http://bidula.cowblog.fr/entre-deux-3030812.htmlEntre-deux.
Il y avait nous. Un petit carré de ciel étoilé à travers le vélux ouvert. Et une certitude, amère et bouillante, acide des regrets anticipés.
Je hais les veilles de départ et les lendemains de retour.
Il y a avait de la musique, de la musique, et puis de la musique. A en rendre fous les voisins. Il y avait du bonheur aussi, qui irradiait de ces choses simples qui nous faisaient rire. Un chemin bétonné sous la lune, une plage étoilée, trois guitares et un jeu de société. La douceur des jours et des nuits qui s'enchaînaient, avec tendresse presque. Le bonheur qui crissaient sous nos pieds, qui s'envolait au vent de la mer.
Et (re)découvrir la beauté du mot ensemble.
Tout simplement.

La plus longue des enumérations n'y suffirait pas, mais quelque part à l'intérieur, j'ai une montagne de souvenirs d'or, un immense soleil pour les jours de tempête à venir. Et des promesses, par brassées entières.

Cette année je me tiens droite, je mange moins, je ne commence pas à fumer, je contrôle mes dépenses, je ne laisse personne s'éloigner de moi plus de cinq jours, je deviens une fille organisée et j'ai mon concours.
On y croit.

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http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3030812.htmlSun, 22 Aug 2010 21:54:00 +0200http://bidula.cowblog.fr/entre-deux-3030812.html
http://bidula.cowblog.fr/little-songs-poetry-3025603.htmlLittle songs & poetry.



Passez de bonnes vacances.]]>
http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3025603.htmlWed, 04 Aug 2010 21:52:00 +0200http://bidula.cowblog.fr/little-songs-poetry-3025603.html
http://bidula.cowblog.fr/instant-gueulante-3025601.htmlInstant gueulante.Le monde moderne, petit théatre de l'absurde.
On se bat sur les plateaux et dans les plaines oubliées d'Afghanistan, des guerres qui s'enlisent, des soldats qui ne savent plus trop ce qu'ils défendent, las de jouer les gendarmes dans un monde qui les dépasse, las de se battre pour la paix. Quelle triste ironie, "se battre pour la paix", nécessaire ironie dans ce théatre de l'absurde, cette comédie burlesque de l'Humanité déchirée, où l'on évite de prendre trop de recul sur les choses pour ne pas s'apercevoir que des centaines, des milliers d'hommes meurent pour rien à l'autre bout du monde. "Cachez cette guerre que je ne saurais voir..."  Mais on préfere ne pas penser aux batailles ignorées du grand public, sacro-sainte divinité sans yeux, sans bouche et sans conscience, par peur de se retrouver face au mur de sa propre impuissance. Alors à cela, on préfere l'indifférence, le divertissement selon Pascal qui détourne l'homme du nihilisme pour mieux de faire plonger dans l'individualisme. En 2008, l'effondrement des cours alimentaires à la Bourse a empêché les Etats Unis d'exporter leurs excédents alimentaires, notamment aux pays d'Afrique. Des milliers de tonnes de blé, de riz, d'orge pourrissaient dans les entrepots américains, tandis que des enfants mourraient de faim à l'autre bout du monde. Et tout le monde trouve ca normal, parce que c'est comme ca que le monde marche : les fluctuations d'argent virtuel, dirigées par quelques grands, décident de la vie (ou de la mort) de milliers d'autres. Mais c'est loin, c'est ailleurs, ca ne nous regarde pas, et puis apres nous on y peut rien, ici aussi c'est la crise, c'est le président qui l'a dit... Par peur, par recherche de confort, on se claquemure dans cet absurde auquel on croit dur comme fer, auquel on trouve meme des raisons d'etre, "la réussite sociale", le confort et la sacro-sainte sécurité, gardiens de l'aveuglement occidental des sociétés industrialisées, "développées".
Et l'on ose parler de progrès...
L'existence aujourd'hui ne peut plus se vivre seul. Face au besoin gradissant de repenser la vie en société, l'individualisme exacerbé n'est qu'un fragile cocon qui se fait passer pour une forteresse indestructible. Mais il suffirait de trois fois rien, que l'Iran attaque Israël, que la Corée du Nord lâche ses missiles, pour qu'une guerre que nous ne soupcionnions pas vienne faire voler en éclat nos pavillons de banlieue, nos richesses et notre confort sécuritaire. Pendant que l'Occident, assis sur son canapé avec une bière, avait les yeux rivés sur un ballon rond en Afrique du Sud, des enfants mourraient dans les bras de leurs meres.
Ne dites pas que vous ne saviez pas. Ne dites pas que vous ne pouviez rien y faire.

Ce texte est un rien trop tiers-mondiste, je le reconnais. Mais la liberté est loin d'être quelque chose d'acquis. Et nous ne sommes pas seuls sur cette putain de Terre.



"Penser les droits de l'homme, s'atteler à la tache infinie de les fonder ou de les réaliser fait partie du devoir d'humanité. La liberté de pensée sans le devoir de l'exercer n'est qu'une virtualité qui, tôt ou tard, ira agoniser sur les rives nauséabondes du conformisme et servira d'engrais aux malheurs publics qui en découlent." (JM Fisher)

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http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3025601.htmlWed, 04 Aug 2010 21:46:00 +0200http://bidula.cowblog.fr/instant-gueulante-3025601.html
http://bidula.cowblog.fr/je-suis-reviendue-3025588.htmlJe suis reviendue.Les post se raréfient, vacances obligent. Moins on a de choses à faire, plus on a la flemme de les faire...
Je n'aurais pas dû poster mon précédent article. M'enfin, maintenant qu'il est là...
Je ferais bien un état des lieux de ma vie en ce moment,  mais ca manquerait singulierement d'utilité. Ceux qui tombent ici par hasard ne me connaissent pas, par conséquent s'en foutent, et ceux qui tombent ici on purpose me connaissent, donc ils savent ce qu'il y a à savoir. C'est cool hein ? Je repars demain, ma valise n'est toujours pas faite et il faut que je passe à la banque. Misère.
Mais comme il n'est que 14h23, je ferais bien une petite chronique, histoire de changer des  sempiternelles lamentations égocentriques qui ont précédé. Ca vous ferait du bien. Et puis à moi aussi. Et puisque les vacances, c'ets l'occasion de sortir tous les albums et les bouquins qu'on a eu la flemme d'écouter/lire pendant l'année...
La musique d'abord. Mon MP3 agonise, alors je le bourre de musique avant qu'il ne lâche définitivement. Musique que je dois essentiellement à Anthony, merci à lui.
Il y a Grace Slick. Classique, organique. Une voix pareille, ca ne se rate pas, surtout accompagnée de tels musiciens. Alors je fouille dans les tréfonds d'internet et de ma chambre, et à force de remuer des pixels et de la poussière, j'ai (re)trouvé les Jefferson. Airplanes d'abord, Starship ensuite. Avec une légere préference pour les premiers, dans le sens où les Jefferson Airplanes ont laissé, à mon avis, plus de place à la voix de Grace Slick que ne l'ont fait les Jefferson Starship. White Rabbit et High Flyin' Bird restant mes préférées, celles où cette voix s'exprime avec le plus de profondeur, de puissance, de nuances. C'est beau, c'est bon, c'est psyché.
Dans la branche des Jefferson, Il y a Hot Tuna, formé par le bassiste et le guitariste des Jefferson Airplanes. Alors la, c'est du psychédélique pur et dur, l'archétype du groupe californien chevelu sous acide. (Quand on pond des albums que l'on titre Phosphorescent Rats, on est hippie et on s'assume.) Archétype nuancé tout de même, avec une solide base blues; acoustique d'abord, électrique ensuite. Et c'est bon, ca sent le far west et la route 66, le Colorado et une guitare sur le dos, ca donne envie de bouger, de foncer en voiture avec des copains et de s'en aller loin, comme ca, d'un coup. Du blues psyché et un peu fou ; tout ce qu'il faut pour faire un bon groupe. (Je ne comprend pas qu'ils soient pas plus connus. Une machination, sans doute.)

Voila pour la musique. J'avais envie de parler des Grateful Dead et puis de Karen Elson mais j'ai eu la flemme, alors je suis partie faire un tour. Je suis reviendue, et j'ai toujours la flemme. Donc ca sera pour une prochaine fois.
J'ai aussi un texte tiers-mondiste qui va envoyer du paté en réserve, dû à la lecture récente et pâssionnante de French Doctors (Olivier Weber pour ceux que ca intéresse), un pavé de 600 pages sur l'histoire de MSF et, de maniere générale, de la médecine humanitaire. Ou comment se rendre compte qu'il devient tres facile de détester le genre humain, dès qu'on ouvre les yeux sur le monde...

Et comme mes copains ont du talent, je suis gentille, je linke :
Alexandre, des paroles, de la poésie.
Anthony,
un délice à la lecture. Touchant.
Morgann, de la philosophie et de la physique quantique. Boum.
(Voilà, j'ai tué votre anonymat sur le oueb, haïssez-moi.)


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http://bidula.cowblog.fr/commentaires-3025588.htmlWed, 04 Aug 2010 21:18:00 +0200http://bidula.cowblog.fr/je-suis-reviendue-3025588.html